Prelude
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Repris
le cours des choses
Où
je t’avais laissé
Sur
un pupitre de silence
Recouvert
de poussière,
Derrière
un été décrépi
Portant
balafres,
Derrière
mes yeux agars
Tout
éblouis,
Moins
vaillant que la veille.
Malgré
tout
Je
te reconnais, mon été
Par
tes coquetteries d’éternité
Tes
éclats de rire étoilés
Ton
souffle de garrigue sauvage,
Ton
fond bleu dauphin.
Enfin
toi et moi
Ame
et fruit dans un même panier
Pour
nous apprendre
Les
nuits d’hivers.
Photo © prelude-to-winter-avec-kasia-struss-par-hugh-lippe
Texte© Pascal Sauvaire
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