Quand
Les étoiles ne
crépitent jamais assez fort,
Mes rêves donnent du
coude,
Mon cœur bat
Quand mon esprit
boude,
Quand les jours
marchent à pas forcés,
Quand le souffle sur
mes pages
Tombe trop loin de
moi.
Je suis une figurine
de l’âge adulte
Qu’une vive douleur,
une vive joie
Seule ou de concert
Peut encore émouvoir.
Pour l’heure
Je sais encore frémir
Chanter haut et fort
Et jouir en porte
drapeaux.
Photo © Lydia Roberts
Texte© Pascal
Sauvaire
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