Belle histoire
Toréador sans arène,
Je m’invente un roman
D’Espagne.
Une de ces histoires de sang
Qui colle à la peau,
Une histoire
De soleil sombre
Et de flamenco
Où l’on se risque
De grand cœur.
Une histoire de femme
Beauté féroce
Au sourire fleuri,
De moulins à vent sur l’horizon
Battant leurs ailes
Pour un dernier combat inutile
Mais plein d’honneur.
Une histoire
De triomphe et de fête
De désirs impossibles
Une histoire
Où tout serait
A vivre.
Photo © Giulia Pesarin
Texte© Pascal Sauvaire
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