Ciel et terre
Souvent seuls
Ils se perdaient de vue
Et puis un visage
Soudain reconnu
Dans un passé
Aux terres fertiles
Revitalisait l’histoire.
Alors
Le ciel
Reprenait le parfum de la terre.
Les berges inondables
Retenaient leurs premiers cris.
Les nuages
Devenaient destins de fenêtre.
Tout cela
Les laissait désemparés, encore
Portes vacantes.
Photo © Freddy Rapin
Texte© Pascal Sauvaire
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