Captif
Deux
visages
Une
même réalité,
Le
connu que l’on comprend,
L’inconnu
qui rend libre
Ou
plutôt
L’inconnue
éveillée et vivante.
Dualité
malsaine,
Racine
d’illusion sans fin,
Piège
terrible
Ou
l’homme chercheur de vérité
Confronté
au fait suffocant
D’être
captif de ces yeux là
N’est
que victime
De
ne pouvoir vivre autrement.
Photo © Rolland András
Flinta
Texte© Pascal Sauvaire
Commentaires
Enregistrer un commentaire