Ses yeux
Et tout à
la fois dédaigneux
Sans voir
les blessures
Ni accéder
aux larmes,
Ses yeux
n’osent regarder.
Ils peuvent
se souffrir mais non se savoir,
Ils peuvent
se convoiter non s’obtenir.
En
mouvement ils voient
La défunte
quiétude
Qui ne peut
vivante s’apaiser.
La faute
aux étoiles,
Au soleil,
au jour,
La main qui
cache ces yeux là
Prendra
pitié de mon cœur humain.
Photo © Rolland Andras Flinta
Texte© Pascal Sauvaire
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