Il n’y aura plus d’abeilles...
Demain il n’y aura plus d’abeilles
Plus de femmes légères
Dans les ports lointains
Pour bercer les souvenirs des voyages lointains,
Pour allumer des feux de joie
Sur les cotes sauvages de ma vie.
Elles se penchent à leurs fenêtres
Cachées derrière un instant
Si léger,
Pour s’y laissé caresser.
Leurs lits abritent
La mer, le ciel
Et mille et une nuits.
Photo © Jean-Claude Sanchez
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