Larmes de café
Je ne veux pas manquer
Le temps de te connaître,
Je te retrouverai partout
Vraiment, parfois, surement.
Je t’observe en tenue de fenêtre ouverte
Tu as le cœur à siffloter
En prévision du soir
Où je m’en vais découper
Dans ta robe un soupirail.
Au matin je déroule le tapis rouge
Des grands jours de joie,
Je verse une larme
Au fond de mon café
Car quand tu dors encore
Je suis deux fois seul.
De quel sommeil
Sont faits tes songes
Que je vais réveiller…….
Photo © aaron feaver
Texte© Pascal Sauvair
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