Lierre au coeur
La femme de l’été
Aux yeux de vierge
Aux tempes de lierre
Par quelles promesses inusitées
Ouvra t elle le ciel
Comme une route neuve
Où l’heure plus morsure
Que caresse
Nous livre à ses couteaux.
Sous un ciel trop bleu qui se concerte
Qui parle d’autre chose
Etant parfait en soi,
Un serpent s’enroule à ma cheville,
Il faut oser le sens dit-il
Oser cette défaillance
Cette beauté, lumière nue.
Ma seule attente acquiesce,
Le cœur est préférable.
Photo ewa-adriana-szumowska
Texte© Pascal Sauvaire
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