Abandon aux levres
Plus de journées à souffrir
Des limites comme dans un cercueil
Ici où je finirai par faire
L’éloge du soleil
Et du regard des femmes
Surprises à se faire briller,
Ici où tu ne sais plus
Si c’est une pêche
Ou des lèvres
Que tu dévores
Ne fut pour l’odeur
Sucrée de la femme,
Ici encore ou elle t’offre
Son abandon,
Un abandon si vaste
Que tu accueilles le sommeil
Comme une vraie paix
De petite mort.
Photo © clayton-cubitt-cream
Texte© Pascal Sauvaire
Commentaires
Enregistrer un commentaire