Mystere ?
C’est
ainsi
Que
le dur mystère d’exister
Se
repaît
Des
multitudes ailées
Aux
creux des anciens temps
Auxquels
on donne en sépulture
Le
dernier sursaut,
Le
dernier hurlement
Pour
écarter de ses yeux
Ces
oiseaux morts
De
fureur ou de craintes.
Leurs
ailes passent sur les toits
Comme
un jet d’encre
Avant
de s’égoutter
Au
flanc d’un mur
En
plein midi.
Leurs
ailes dispersées
Battent
elles ailleurs
Aussi ?
Photo © Metin Demiralay
Texte© Pascal Sauvaire
Commentaires
Enregistrer un commentaire