Délire nu


Nue pour qui regarde,
Deux yeux qu’écartent
Bleue jumelle
La cuisse vue,
Fesses roses et rares.

A la bouche
Que la main lascive
Accouple et enfouie
Par derrière,
Une cage presque
Noire touffe.
Puis vient avec
Dans la tranchée l’air identique
L’aval,
Qui s’embrase et s’éteint.
Quelle partie, quelle moitié
L’avale.
Image
Tenue en mon plaisir
La première fois.

Photo © A Todea
Texte© Pascal Sauvaire

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