Elle dort
Elle dort enfin, elle dort enfant.
Elle dort en fa, elle dort en faon
Elle dort en fille, elle dort en fesses.
Elle dort en fente
Jambes à l’aiguille
Sonnant aux heures fidèles.
Je l’épie chatte fendue,
Venus en eaux,
Ma bien lunée,
Sa main chérit et berce
La source jamais tarie.
C’est sa beauté, sa faiblesse, sa féline
Son feu.
Photo © Arno_Rafael_Minkkinen
Texte© Pascal Sauvaire
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