Départ
Il n’y a rien à dissimuler,
Le jour perd courage,
Le désir épuise mourir,
La nuit devient étrangère.
Plus de départ
Juste souffrir
D’un feu qui brule ailleurs
Egarés
Mes mots ne retiennent plus l’effort
La chair alors engorge le parler
La fureur trahit le dessèchement,
Blessés
Cris et âme s’en vont ailleurs.
Photo © Stefano Corso conceptual
Texte© Pascal Sauvaire
Commentaires
Enregistrer un commentaire