Faux départ


Les rêves faux sont libres de retourner
A la maison reniée
Par la ville et ses ailleurs
Où s’écoule la rivière
D’un grand bonheur d’exister.

Le long des quais
Je ne sais plus oublier.
Ce qui fut
Rebrousse le temps, sans lutte.
Ce qui sera passe sur l’autre rive,
Femme aux yeux ouverts
Ton silence habite le fond de ma maison.

Photo © Azahara Fernández
Texte© Pascal Sauvaire

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