Caprice

 



Le matin paye son dû à la nuit qui s’épuise
A relire la ligne de fin
D’une histoire qui s’efface, sans trace.

La lumière de l’aurore déborde d’ombres longues,
Pétales d’un caprice qui creuse son nid
Au cœur d’une vaste misère.

Le temps dissout le coffre des songes
Et me bannit des reflets du miroir,
Échos mélancoliques d’un demain oublié.

L’eau et la terre sommeillent….

Photo © Andreea Chiru
--> Texte© Pascal Sauvaire

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