Corps d'horizon


La porte est entrouverte
Tu connais le chemin
Et ne reconnais rien.

Sans faiblir ni vieillir
Accorde-moi la nuit,
L’amour fou, l’insolence
D’un premier équipage.

A jouer la vie
On se perd
Ce n’est pas un jeu.

Tu es le souffle qui vit sans cesse,
Le rouge à l’âme qui jamais ne renonce,
Espoir, désespoir
Mystère insensé,
Le feu noir d’un amour, d’une caresse
Tu es mon aube à l’horizon.

Photo © Rolland Andras Flinta
Texte© Pascal Sauvaire

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