Ici
Toutes ces traces
Ici
Qu’il faut poursuivre
Dans chaque signe,
L’impuissance insatiable du vide.
Vide sans issue,
Vide et ses ruines inévitables,
Vide dans la matière et le mot.
Vide dans la chute, là
Où voir et parler,
Où ne pas toucher et ne pas désirer
Où ne pas toucher et ne pas désirer
Sont mes plaies constantes
Et désormais visibles
Et désormais visibles
Photo © maria-stromvik
Texte© Pascal Sauvaire
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