Se retrouver nu...aux yeux de monde
Je porte mes mots comme un costume trop étroit
Mes maux sont des oripeaux que le laisse en tas
Derrière moi sur le sol inégal de mes souvenirs
Graphitis en marge d’une histoire papier brouillon
Mes mots sont les écailles protectrice de mon passé
Que je perds par poignée sur mes cahiers
Pour me retrouver nu devant cette femme inconnue que j’attends
Photo © Branka Kurz
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