La traduction de tes pas
La nuit s’estompe sur mon monologue aux étoiles
L’aube rétrécit les empreintes gris-glacé de ma mémoire
Au-delà des horizons multiples de tes pensées silencieuses
Ou l’orage se calme
Sur les hasards du jour le jour
Et des connivences impossibles d’échos muets
J’aperçois un nouveau monde
Dans l’étendue du ciel en tes yeux
Et le murmure de ton souffle, sonnet dans mes voiles
Chimérique besoin de voyages sans mystères
Ou les mots exagérément lourds
Se muent en syllabes plus simples et sages
Pour déposer pieds nus, candeur, sur la traduction de tes pas
Photo © Tatiana Ferkova
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