Un temps qui serait notre
Les couleurs du ciel effacent la pluie
Et prennent les arômes du jour qui veille
Sur la complicité du rêve et de la raison
Mes mots te cherchent heureux et inquiets
Etirés entre ici et ailleurs sur le fil du moment
Pour trouver refuge dans l’innocence de tes yeux
Mon souffle se fige au son imaginé de ta voix
Mes pensées s’égarent sur tes alphabets
Mes espoirs rêvent d’un temps qui serait notre
Photo © Ivan Gorcsev
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