Rêve perpétuel
Les heures marchent pas à pas
Comme des enfants gâtés
Pour apaiser l’ingénue fée des ombres
Les étoiles écrivent leurs histoires à la lueur de tes yeux
J’erre sur l’absurdité des pensées innocentes
Ou les astres ne chanteraient que pour nous….
Les cloches de l’aurore sonnent
l’abandon de nos mémoires,
Pour que mon rêve perpétuel illumine tes nuits.
Photo © Anke Merzbac
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