Faim
A
l’aube de tes seins
Renait
un autre jour,
La
source s’émerveille
Et
l’eau vient
Prendre
dans tes mains
Sa
soif d’automne.
Elle
bâtit une chaumière
Et
le vide s’inquiète
De
ta tranquillité
Et
mes mots faciles
Se
donnent des raisons
D’aller
et venir
Et
tu ordonnes tout
De
ma faim à ton silence.
Photo © photography-by-metin-demiralay
Texte©
Pascal Sauvaire
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