Plein air


Sur les sommets ou nous marchons
Chacun peut vérifier
Que la poésie est partout
Où l’on veut bien qu’elle soit.

C’est le fait du plein air
Et de la vue qui porte loin.            
Ici les portes battent en plein ciel
Et les pierres grelottent
Du temps qui passe.

Ayant courbé l’échine sous le joug
De longs murs barbelés
J’irai, pour renouer avec la vie
Au bout de ton  chemin
Pour que la ferme renaisse
Au fond d’une foret pérenne.

Photo © Metin Demiralay
Texte© PascalSauvaire

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