Nu plume
A l’homme
à moitié nu
La
fenêtre donnera un oiseau,
Elle
donnera aussi de son encadrement
Au
passage de la nuit.
La plume
trempée en plein vol
Donnera
les lèvres d’une femme luisante.
Un galet,
son épaule à portée de main
Où
s’étire un lézard abasourdi.
Dans
l’oubli la femme
Compte
les dents
Tombées
d’un éclat de rire.
Elle
porte au devant d’elle
Une
braise dans une louche
Comme un
œil de cyclope qu’elle regarde
De sang
calme.
Photo ©
Daniel Murtagh
Texte©
Pascal Sauvaire
Là où j'aurais pied sur les galets, et les mains dans l'eau bruissantes montagnes?
RépondreSupprimerLà où la rivière ferait mon lit,
Et la foret me peignerait.
Ce fond sonore permanent,
C'est le bruit de l'autre qui s'écoule.
Merci Pascal
Des baisers... EM <3
Au tracé de ta bouche
RépondreSupprimerÀ mes mots qui se couchent
Ton baiser sur ma peau
Qui m'effleure et me touche
signé TAGADA
Comme une muse et reine découvrant ses jupons
RépondreSupprimerElle est sublimation et déraison
Elle est femme en quête d'abandon
@ TAGADA
Réminiscence qui s’éteint, réveillant les mémoires au rappel de l’histoire aux couleurs et puis du noir
RépondreSupprimerTes mots dans mes maux , merci Pascal <3